Lors de notre sortie parisienne, nous avons eu le privilège d’assister à une conférence se déroulant au siège social du service relation clientèle de PSA-Citroën. Puis nous avons visité les Champs Elysées, pour observer premièrement le marchandisage de séduction d’Abercrombie and Fitch et ensuite pour observer le marché des magasins de luxe. Nous avons dû choisir deux vitrines de l’avenue Montaigne, que nous avons due analyser. Voici notre analyse :
Nous avons d’abord analysé la vitrine des magasins Gucci et Dolce Gabanna :
« Les vitrines de l’avenue Montaigne soit Gucci et Dolce Gabanna sont très représentatives de la boutique.
Concernant la vitrine de Gucci, on voit qu’elle est très épurée et aux couleurs se rapportant à la marque, on y voit du doré ce qui peut avoir une connotation au monde du luxe. De plus la vitrine est sobre, et très peu éclairée.
Pour la vitrine de Dolce Gabanna, la vitrine est aussi faite à l’image de l’enseigne. Contrairement à celle de Gucci, est beaucoup plus remplie et ainsi beaucoup plus colorée. Mais elle reste très éclairée et à l’image de la marque : luxueuse.
Les deux vitrines montrent leur communication sur leur offre, leur spécialité et surtout dévoile leurs nouveautés. »
Nous avons ensuite fait une analyse de son marchandising externe puis interne :
Analyse du merchandising :
Merchandising externe :
Le nom de la marque visible ici juste au-dessus de l’entrée grâce à une enseigne lumineuse. Le type d’offre proposé au sein de la boutique visible grâce à la vitrine mettant en scène les produits phares de la collection. Le niveau des prix pratiqués au sein de la boutique visible grâce à l’affichage des prix des produits en vitrine. Le positionnement de la marque visible toujours grâce à la vitrine et à la mise en scène des produits.
Dany et Margaux